Prêchant pour sa propre paroisse, MICROSOFT s'est penché sur le rapport des femmes avec le numérique -rien que cela ! Et l'enquête menée auprès de 500 French Women -seulement- établit une rapide typologie du vécu intrinsèque de la relation à la technologie -numérique- selon la situation professionnelle des femmes.
Nous sommes donc des privilégiées ! Nous faisons partie, nous les INTD-iennes, de la catégorie des "femmes-numériques".
IPSOS et MICROSOFT complètent leur typologie avec deux autres qualifications : les "techno-demandeuses" et les "techno-défavorisées". Ces dernières ressentent une dichotomie avec "les cols blancs", ces femmes travaillant à un bureau et donc à priori plus favorisées qu'elles. Oui, il peut y avoir le chômage, oui, il peut y avoir une absence de formation initiale. Mais le sondage atteste que plus de la moitié des femmes souhaitent maîtriser la technicité numérique comme un moyen d'accès à une plus grande chance professionnelle, à un travail.
Les sondeurs parlent de "réduction des inégalités professionnelles hommes-femmes" que représenterait l'accès à la technicité numérique. Ou du moins, comme l'écrit Pascale Molinier, une appropriation de ce qui a été vécu par les femmes comme l'apanage de l'archétype masculin, ce qui est corroboré par l'enquête : "ces femmes interrogées estiment que leur [maîtrise] de la technicité numérique les met(trait) sur un pied d'égalité avec les hommes".
En lisant cet article, je me suis souvenu de de Daniel Pennac et de sa femme, qui ont assuré pendant x années, du soutien scolaire aux enfants en bas de leur immeuble après l'école.
Et j'ai pensé à L., à qui je pourrai faire toucher le clavier, comme ça.
http://www.artesi.artesi-idf.com/public/article/le-numerique-au-service-de-la-reduction-des-inegalites-professionnelles-hommes-femmes.html?id=22406
Nous sommes donc des privilégiées ! Nous faisons partie, nous les INTD-iennes, de la catégorie des "femmes-numériques".
IPSOS et MICROSOFT complètent leur typologie avec deux autres qualifications : les "techno-demandeuses" et les "techno-défavorisées". Ces dernières ressentent une dichotomie avec "les cols blancs", ces femmes travaillant à un bureau et donc à priori plus favorisées qu'elles. Oui, il peut y avoir le chômage, oui, il peut y avoir une absence de formation initiale. Mais le sondage atteste que plus de la moitié des femmes souhaitent maîtriser la technicité numérique comme un moyen d'accès à une plus grande chance professionnelle, à un travail.
Les sondeurs parlent de "réduction des inégalités professionnelles hommes-femmes" que représenterait l'accès à la technicité numérique. Ou du moins, comme l'écrit Pascale Molinier, une appropriation de ce qui a été vécu par les femmes comme l'apanage de l'archétype masculin, ce qui est corroboré par l'enquête : "ces femmes interrogées estiment que leur [maîtrise] de la technicité numérique les met(trait) sur un pied d'égalité avec les hommes".
En lisant cet article, je me suis souvenu de de Daniel Pennac et de sa femme, qui ont assuré pendant x années, du soutien scolaire aux enfants en bas de leur immeuble après l'école.
Et j'ai pensé à L., à qui je pourrai faire toucher le clavier, comme ça.
http://www.artesi.artesi-idf.com/public/article/le-numerique-au-service-de-la-reduction-des-inegalites-professionnelles-hommes-femmes.html?id=22406
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire