Le forum iLearning qui se déroule au Palais des Congrès, du 18 au 19 janvier, se termine ce soir. On y a abondamment parlé des serious games. Ce nouveau type de formation qui combine le jeu vidéo à une volonté éducative investit le secteur de la formation et l'entreprise 2.0.
Le premier à tâter le terrain, comme souvent, est l'armée américaine avec America's army. Depuis 2002, ce jeu de simulation permet de vivre le quotidien d'un soldat au moyen d'un avatar.
D'autres secteurs développent leurs activités autour du serious gaming. Ce matin, la société Interaction Healthcare présentait officiellement son projet Pulse, une simulation 3D, permettant d'appréhender de manière ludique des savoirs médicaux complexes. De même, l'Académie de Toulouse a créé le jeu Technocity qui permet de découvrir les métiers de l'ingénierie à travers des jeux de plateforme et de réflexion.
Même les grandes entreprises s'y mettent. Ainsi, l'Oréal a développé HairBe12, un serious game sur la gestion d'un salon de coiffure. BNP Paribas propose Ace Manager pour les jeunes diplômés afin de les familiariser aux métiers bancaires.
Ce secteur en pleine expansion a d'ailleurs le soutien de Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, la secrétaire d'état chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique. En septembre 2009, son ministère décidait de financer 92 projets de serious game à hauteur de 35 millions d'euros.
Ainsi, à l'heure où les digital natives commencent à entrer sur le marché du travail, le monde de l'entreprise serait bien avisé de se saisir du serious game et de l'interfacer avec l'environnement web 2.0, notamment les réseaux sociaux. Déjà, le jeu Jetset qui permet de se former comme agent de sécurité aéroportuaire n'est disponible que sur iPhone et Facebook.
Et les univers virtuels tels que Second Life peuvent également offrir des opportunités réelles comme interfaces de jeux éducatif, participatif et collaboratif.
Alors à quand une application téléphonique ludique "Comment devenir boss à la place de mon boss" dans le train de banlieue en direction du boulot sous l'avatar de Karl Marx ?
Le premier à tâter le terrain, comme souvent, est l'armée américaine avec America's army. Depuis 2002, ce jeu de simulation permet de vivre le quotidien d'un soldat au moyen d'un avatar.
D'autres secteurs développent leurs activités autour du serious gaming. Ce matin, la société Interaction Healthcare présentait officiellement son projet Pulse, une simulation 3D, permettant d'appréhender de manière ludique des savoirs médicaux complexes. De même, l'Académie de Toulouse a créé le jeu Technocity qui permet de découvrir les métiers de l'ingénierie à travers des jeux de plateforme et de réflexion.
Même les grandes entreprises s'y mettent. Ainsi, l'Oréal a développé HairBe12, un serious game sur la gestion d'un salon de coiffure. BNP Paribas propose Ace Manager pour les jeunes diplômés afin de les familiariser aux métiers bancaires.
Ce secteur en pleine expansion a d'ailleurs le soutien de Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, la secrétaire d'état chargé de la Prospective et du Développement de l'économie numérique. En septembre 2009, son ministère décidait de financer 92 projets de serious game à hauteur de 35 millions d'euros.
Ainsi, à l'heure où les digital natives commencent à entrer sur le marché du travail, le monde de l'entreprise serait bien avisé de se saisir du serious game et de l'interfacer avec l'environnement web 2.0, notamment les réseaux sociaux. Déjà, le jeu Jetset qui permet de se former comme agent de sécurité aéroportuaire n'est disponible que sur iPhone et Facebook.
Et les univers virtuels tels que Second Life peuvent également offrir des opportunités réelles comme interfaces de jeux éducatif, participatif et collaboratif.
Alors à quand une application téléphonique ludique "Comment devenir boss à la place de mon boss" dans le train de banlieue en direction du boulot sous l'avatar de Karl Marx ?
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