Un soir, assis dans un wagon du métro, j'ai eu le loisir d'observer un passager utilisant avec délectation une tablette électronique. Cela m'a rappelé nos "antiques" ardoises, voire les ardoises magiques de mon enfance. Je fus surpris par l'étonnement des passagers à la vue de ce singulier objet, à mi chemin entre l'ordinateur portable, le téléphone portable nouvelle génération (iphone), la télévision à écran plat ou bien l'ardoise de l'école républicaine. D'ailleurs un passager surpris c'est exclamé : "oh ! Regarde la mini télévision, on arrête pas le progrès."
Des réactions qui démontrent, s'il en est, la difficulté de cette technologie innovante à trouver sa place dans notre quotidien, mais également la même difficulté de lui donner un nom : tablette, dalle de divertissement et pourquoi pas "planche de salut"ou "messie", pour ceux qui ont vu en elle un afflux d'air frais dans le domaine du livre, par exemple, ou dans le "climat de morosité" ambiant. A l'heure qu'il est, nous sommes plus dans l'offre que dans la demande. Et, les grandes entreprises spécialisées, comme les moins grandes, développent leurs modèles avec plus ou moins de succès. De l'i.pad (Apple), en passant par le Streak (Dell), le Galaxy Tab (Samsung) ou encore l'Archos 700 (Archos), les prix à la vente varient considérablement de 230 à 700 euros environ, prouvant l'instabilité de ce marché et la course à la compétitivité qui est désormais lancée.
Considéré, avant toute chose, comme un objet de divertissement, un gadget, un "jouet pour grands enfants"voire un simple "objet électronique", la tablette n'en demeure pas moins un merveilleux objet de diversification des supports multimédia ("cartothèques", Appstore, Ibookstore, itunes, messagerie, jeux, etc.). Cependant, des modèles "pros" pointent déjà à l'horizon, mais avec beaucoup de discrétion.
Avec déjà près d'1 million de i.pad vendus aux Etats-Unis, le marché français et la presse nationale se sont emballés, projetant la vente de "400 000 à 450 000 tablettes d'ici fin 2010" , mais l'objectif sera-t-il atteint ? Il faut noter que l'un des enjeux du contenu des tablettes, et non des moindres, est celui du livre numérique (ibookstore) qui a su trouver sa place par l'intermédiaire des plateformes de distribution numériques comme : Eden livres, Numilog et e Plateforme. La méfiance qui s'imisce chez certains éditeurs vient plus d'une crainte d'un monopole d'Apple dans le domaine. Mais, pour de nombreux grands libraires la tablette, tout comme les "liseuses", est peut-être un second souffle pour un monde de l'édition en grande difficulté.
"Ardoise ludique", "tablette", "dalle de divertissement" ou "planche de salut", la tablette, du moins pour la France, va devoir passer le cap des fêtes de fin d'année pour savoir si, comme aux USA, elle crée un véritable engouement et si la société des loisirs que l'on souhaite nous vendre répond véritablement aux attentes des sujets de notre bonne vieille France.
Des réactions qui démontrent, s'il en est, la difficulté de cette technologie innovante à trouver sa place dans notre quotidien, mais également la même difficulté de lui donner un nom : tablette, dalle de divertissement et pourquoi pas "planche de salut"ou "messie", pour ceux qui ont vu en elle un afflux d'air frais dans le domaine du livre, par exemple, ou dans le "climat de morosité" ambiant. A l'heure qu'il est, nous sommes plus dans l'offre que dans la demande. Et, les grandes entreprises spécialisées, comme les moins grandes, développent leurs modèles avec plus ou moins de succès. De l'i.pad (Apple), en passant par le Streak (Dell), le Galaxy Tab (Samsung) ou encore l'Archos 700 (Archos), les prix à la vente varient considérablement de 230 à 700 euros environ, prouvant l'instabilité de ce marché et la course à la compétitivité qui est désormais lancée.
Considéré, avant toute chose, comme un objet de divertissement, un gadget, un "jouet pour grands enfants"voire un simple "objet électronique", la tablette n'en demeure pas moins un merveilleux objet de diversification des supports multimédia ("cartothèques", Appstore, Ibookstore, itunes, messagerie, jeux, etc.). Cependant, des modèles "pros" pointent déjà à l'horizon, mais avec beaucoup de discrétion.
Avec déjà près d'1 million de i.pad vendus aux Etats-Unis, le marché français et la presse nationale se sont emballés, projetant la vente de "400 000 à 450 000 tablettes d'ici fin 2010" , mais l'objectif sera-t-il atteint ? Il faut noter que l'un des enjeux du contenu des tablettes, et non des moindres, est celui du livre numérique (ibookstore) qui a su trouver sa place par l'intermédiaire des plateformes de distribution numériques comme : Eden livres, Numilog et e Plateforme. La méfiance qui s'imisce chez certains éditeurs vient plus d'une crainte d'un monopole d'Apple dans le domaine. Mais, pour de nombreux grands libraires la tablette, tout comme les "liseuses", est peut-être un second souffle pour un monde de l'édition en grande difficulté.
"Ardoise ludique", "tablette", "dalle de divertissement" ou "planche de salut", la tablette, du moins pour la France, va devoir passer le cap des fêtes de fin d'année pour savoir si, comme aux USA, elle crée un véritable engouement et si la société des loisirs que l'on souhaite nous vendre répond véritablement aux attentes des sujets de notre bonne vieille France.
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