Les évènements récents liés aux informations dévoilées sur le site Wikileaks font couler beaucoup d'encre...numérique. L'affaire Wikileaks est décryptée, analysée, sur la Toile sous tous ses aspects: politique, idéologique, éthique, technologique...
Par exemple, Fabrice Epelboin, dans son article "Et si Wikileaks était une chance?" considère que "les notions de copie, de circulation, de partage et de consommation de l’information sont, techniquement, parfaitement similaires". Les possibilités techniques offertes par l'Internet soulèvent donc la question de la (libre) circulation des documents, liée, dans le cas de Wikileaks, au problème de confidentialité.
De façon plus générale, ces aspects renvoient aux questions de liberté d'expression, ou liberté numérique, comme l'appelle Fabrice Epelboin. Les questions éthiques sont donc, à l'ère d'internet, dépassées par le développement et l'utilisation des technologies numériques. Pour illustration, le phénomène des quelques milliers de sites miroirs qui se sont développés suite aux accusations tournées vers Wikileaks. La multiplication de ces sites a pu en ce sens redéployer la liberté d'expression...tout en brisant la culture du secret (diplomatique). Rien d'étonnant donc à ce que des "pressions politiques" apparaissent, auxquelles Internet doit parfois se soumettre, à l'image d'Amazon qui a expulsé les contenus wikileaks hébergés par ses serveurs.
Quel que soit l'angle d'approche, nul doute que la polémique ne cessera de fasciner et d'attiser la curiosité des uns et des autres. Pour preuve, le film à venir sur Wikileaks, dont le premier montage est accessible sur le net. On citera également le premier livre sur les coulisses du site, "Inside Wikileaks", écrit par l'ancien collaborateur de Wikileaks et que Grasset publiera en 2011. Enfin, symbole de la fascination du public pour cette affaire, l'élection - par les internautes du Time Magazine - de Julian Assange, président de Wikileaks, au titre de personnalité de l'année 2010.
Par exemple, Fabrice Epelboin, dans son article "Et si Wikileaks était une chance?" considère que "les notions de copie, de circulation, de partage et de consommation de l’information sont, techniquement, parfaitement similaires". Les possibilités techniques offertes par l'Internet soulèvent donc la question de la (libre) circulation des documents, liée, dans le cas de Wikileaks, au problème de confidentialité.
De façon plus générale, ces aspects renvoient aux questions de liberté d'expression, ou liberté numérique, comme l'appelle Fabrice Epelboin. Les questions éthiques sont donc, à l'ère d'internet, dépassées par le développement et l'utilisation des technologies numériques. Pour illustration, le phénomène des quelques milliers de sites miroirs qui se sont développés suite aux accusations tournées vers Wikileaks. La multiplication de ces sites a pu en ce sens redéployer la liberté d'expression...tout en brisant la culture du secret (diplomatique). Rien d'étonnant donc à ce que des "pressions politiques" apparaissent, auxquelles Internet doit parfois se soumettre, à l'image d'Amazon qui a expulsé les contenus wikileaks hébergés par ses serveurs.
Quel que soit l'angle d'approche, nul doute que la polémique ne cessera de fasciner et d'attiser la curiosité des uns et des autres. Pour preuve, le film à venir sur Wikileaks, dont le premier montage est accessible sur le net. On citera également le premier livre sur les coulisses du site, "Inside Wikileaks", écrit par l'ancien collaborateur de Wikileaks et que Grasset publiera en 2011. Enfin, symbole de la fascination du public pour cette affaire, l'élection - par les internautes du Time Magazine - de Julian Assange, président de Wikileaks, au titre de personnalité de l'année 2010.
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