Le think tank est défini comme étant une structure de droit privé en charge de produire, légitimer ou encore implanter une doctrine particulière au sein d'un marché. Les différents réseaux sociaux sont de plus en plus analogues à ce modèle d'où le questionnement: Les réseaux sociaux , think tanks du millénaire ?
Un paradigme différent:
La multiplication des sources d'informations dans cette ère résolument digitale a profondément modifié voire complexifié les règles inhérentes à l'approche du marché.
En effet, l'ensemble de la stratégie est bâtie et repensée désormais autour des réseaux sociaux, ce qui suppose une transformation dans les fonctions de l'entreprise et même l'adoption de fonctions nouvelles à l'instar de : e-marketer, community manager...
De l'inversion des rôles:
Le prospect et/ou consommateur d'antan devient consom-acteur, il ne subit plus le besoin, il le crée pratiquement et en devient même le référent. Il peut faire et défaire les marques (un tweet malencontreux sur un produit, un commentaire cinglant sur facebook et catastrophe !)
En effet, l'e-réputation est aujourd’hui un centre névralgique sur lequel l'entreprise veille en particulier.
Même si l'entreprise a su s’adapter à ces nouveaux outils de communication et a su les intégrer dans sa stratégie, il n'en demeure pas moins qu'il va falloir prendre en compte le pouvoir de plus en plus grandissant du consommateur.
Sources:
-Publicité sur les réseaux sociaux attention à votre image!
http://lecercle.lesechos.fr/entrepreneur/marketing-communication/221189345/publicite-reseaux-sociaux-attention-a-image
-La guerre des think tanks
http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/recherche-innovation/intelligence-economique/221189361/guerre-think-tanks
Consulté le 30/01/2014
Blog de veille des chefs de projet en ingénierie documentaire et gestion des connaissances en formation à l'INTD-Cnam
vendredi 31 janvier 2014
jeudi 23 janvier 2014
"Surtout n'oubliez pas les sources"
Le rappel de
cette consigne est devenu nécessaire, même dans un cadre
professionnel. En effet, le web nivelle toutes les informations et les nouvelles pratiques culturelles accompagnant son développement, comme le matching, portent un coup aux anciennes conceptions du droit d'auteur.
Ainsi, un communiqué de presse, pourtant
destiné à être diffusé, ne peut être intégralement reproduit
sans mentionner les auteurs (ou leur institution) et sans leur
autorisation. L'exception pour analyse autorise
néanmoins à reprendre des idées pour en faire une "synthèse
commentée", mais les citations doivent être courtes.... le droit
d'auteur n'interdit pas de reprendre des idées lorsque le
résultat ne constitue pas une paraphrase. D'une
certaine façon, explique Michèle
Battisti, il protégerait les "bons" résumés, tandis
que les paraphraseurs courent le risque d'être taxés de
contrefaçon ou de plagiat.
Étant donné la circulation exponentielle des oeuvres sur la toile, mentionner nos sources commence à ne plus suffire : le chemin parcouru par l'information devient presque aussi important. On parle alors de traçabilité... pour regretter ensuite qu'elle puisse s'appliquer à l'humanité toute entière. Le rêve cher à Paul Otlet d'indexer toutes les connaissances, serait ainsi perverti dans "l'indexation des existences".
La perte des références peut également mener à une autre catastrophe intellectuelle : le reco-pillage infini des vieilles idées, présentées comme des nouveautés. Dans le cycle de plus en plus rapide des flux d'informations, chaque billet apparaît comme une nouveauté bientôt enfouie et sans avenir, ce qui lui permet éventuellement de faire peau neuve en se présentant à nouveau comme une idée originale. Pour réactualiser une pensée, il ne suffit pas d'un nouveau contexte, mais d'une réappropriation active, puisant dans l'histoire pour se projeter dans l'avenir. De même, l'innovation s'appuie souvent sur des idées anciennes, ce qui explique l'importance stratégique de la gestion des connaissances.
Sources :
31st décembre, 2013
Citer ses sources… Mission impossible ?
Citer ses sources… Mission impossible ?Citer ses sources… Mission impossible ?
31st décembre, 2013
Citer ses sources… Mission impossible ?
Respect
des sources, respect des anciens ? L’impression de nouveauté. - See
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DEVAUCHELLE, Bruno, "Respect des sources, respect des anciens ? L'impression de nouveauté"
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des sources, respect des anciens ? L’impression de nouveauté. - See
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Veille et analyse TICE, 3 janvier 2014, http://www.brunodevauchelle.com/blog/?p=1496
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LE DEUFF, Olivier, "Retrouvons le sens de l’attention", Le guide des égarés, 18 janvier 2014,
http://www.guidedesegares.info/2014/01/18/retrouvons-le-sens-de-lattention/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+LeGuideDesEgares+%28Le+Guide+des+Egares%29
http://www.guidedesegares.info/2014/01/18/retrouvons-le-sens-de-lattention/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+LeGuideDesEgares+%28Le+Guide+des+Egares%29
BATTISTI, Michèle "Reproduire des communiqués de presse. À quelle condition ?", Paralimomènes, 20 janvier 2014, http://www.paralipomenes.net/archives/10508
lundi 20 janvier 2014
Shodan, le moteur de recherche pour les pirates
Si vous pensez que personne d'autre que vous n'a accès à votre webcam, détrompez vous.
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Source: Vice.com |
Shodan est un moteur de recherche expert dans la trouvaille d'objets connectés. Il référence un large panel d'objets connectés tels que des webcams, des voitures, des systèmes de chauffage de contrôle d'immeubles de bureaux, des installations de traitement de l'eau, des feux de circulations, mais aussi la température d'un crematorium...C'est pour cela que ce moteur de recherche suscite des angoisses justifiées.
Par exemple, une recherche avec le mot clé "printer" apporte plus de 50.000 résultats, d'imprimantes connectés, dont certaines sont indubitablement accessible et mal sécurisées.
Shodan a été crée en 2009 par John Matherly. Le terme Shodan fait référence au nom d'une intelligence artificielle maléfique qui est le principal ennemi dans les jeux vidéos System Shock 1&2. Un clin d’œil à destination d'un public souvent qualifié de nerds ou hackers.
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Cette image décrit une voiture piratée |
Sources: Forbes
C'est donc un outil qui peut s'avérer utile pour les chercheurs en sécurité, les universitaires, les forces de l'ordre et bien entendu les pirates informatiques malveillants à la recherche d'appareils connectés vulnérables qui ne devraient pas être visibles sur Internet.
En outre, Shodan contient des informations sur plus de 500 millions d'appareils qui sont connectés à Internet et référence plus de 1,5 milliards d’objets connectés. Les failles de sécurité découvertes avec Shodan sont si nombreuses que n'importe quoi et tout ce qui est relié à Internet peuvent être ciblés.
Shodan permet de trouver des webcams avec une sécurité si basse, que la simple saisie de leur adresse IP dans un navigateur offre l'opportunité d'entrer dans la maison des gens, dans leurs bureaux, dans des salles d’opération d’hôpital…
Ainsi, Shodan existe pour rappeler qu’il faut au moins protéger par un mot de passe tout objets connectés à Internet. Entre de mauvaises mains, il constitue une menace surtout pour les personnes qui n'ont aucune connaissance autour de la sécurité en ligne.
Souriez, vous êtes peut-être filmé !
Sources:
GUILLAUD Hubert: "De l'internet des objets au web des objets" [en ligne]. 26 septembre 2013. [consulté le 20 janvier 2014].
SOYEZ Fabien: "Sécurité: de l'Internet des objets à l'Internet des vulnérabilités ?" [en ligne]. 17 janvier 2014. [consulté le 20 janvier 2014]
SELEGNY Grégoire: "Shodan, un moteur de recherche aliment des peurs justifiées" [en ligne]. 17 mai 2013. [consulté le 20 janvier 2014]
http://www.vice.com/fr/read/shodan-est-le-moteur-de-recherches-le-plus-dangereux-du-monde
Les réseaux sociaux de lecteurs : quand la prescription de la lecture sur internet se professionnalise
Les réseaux sociaux de lecteurs francophones sur internet ont considérablement évolué ces dernières années sous l'influence croissante du marketing ciblé.
Ainsi, face aux communautés de lecteurs indépendantes et passionnées telles que Zazieweb, Agora des livres ou Livre Addict, on constate l'émergence de nouveaux acteurs qui opèrent à différents niveaux :
les Pure Players sont des entreprises indépendantes qui jouent un rôle d'intermédiaires entre plusieurs catégories d'acteurs de la filière du livre et qui ont cherché à valoriser commercialement les informations recueillies auprès des lecteurs par l'entremise de la publicité ciblée mais aussi en revendant leurs bases de données aux bibliothèques, librairies en ligne ou encore éditeurs.
Citons parmi les plus connues Babelio ou BdGest/Bedetheque, Booknode.
Les professionnels du livre, sous l'influence des pays anglo-saxons, et de façon plus ou moins affichée, ont tendance à créer directement des sites visant la promotion de leurs ouvrages par des forums et des échanges entre lecteurs.
Il en est ainsi des éditeurs (Hachette par l'entremise de MyBoox), de collections ciblées (Pocket jeunesse avec A blog ouvert, Rageot avec Livre Attitude), de concepteurs de logiciels (Archimed avec son réseau Libfly) mais aussi de librairies en ligne (Chapitre.com ou Decitre.com pour les livres physiques, Amazon pour son Kindle).
Cet article au travers de ce panorama nous présente des communautés de lecteurs organisées essentiellement par des professionnels de l'édition ou de la vente en ligne mais tend à oublier les blogs personnels et les acteurs du livre physique également présents en ligne et tendant à fédérer des communautés de lecteurs notamment autour de librairies : il en est ainsi de la plupart des grandes librairies indépendantes de province que ce soit par exemple Mollat à Bordeaux ou Ombres blanches à Toulouse.
Source :
-Louis Wiart, "Lecteurs : quels sont vos réseaux", [en ligne], INAGlobal.fr, 13 janvier 2014, [consulté le 20/01/2014]
http://www.inaglobal.fr/edition/article/lecteurs-quels-sont-vos-reseaux
jeudi 16 janvier 2014
Les biliothèques et la crise
Plusieurs bibliothèques universitaires dont la bibliothèque inter-universitaire de santé (BIUS), doc'Insa à Lyon ou encore Paris Descartes sont dans l'obligation de renoncer à un certain nombre de leurs abonnement du fait de contraintes budgétaires
Pour exemple, la bibliothèque inter-universitaire de santé a ainsi du se désabonner de :
- plus de la moitié des bases de données (12 sur 22, dont Francis et Pascal)
- 8 000 périodiques électroniques (sur environ 11 500) pour la BIUS
- 1 000 revues imprimées sur 1 035
Plusieurs raisons sont avancées dont la diminution des budgets et solde de ceux-ci affecté ailleurs, le modèle économique de l'information économique, l'inflation annuelle du coût de la littérature scientifique, ou encore l'évolution du coût des périodiques comme le montre ce tableau
modèle économique de l’information électronique
modèle économique de l’information électronique
modèle économique de l’information électronique

Les questions qui se posent sont bien celles de la qualité de service, de la participation à la recherche et de la diffusion de celle-ci. La mise en commun des moyens demeure la seule réponse... en attendant mieux !
Sources :
Farguell, Montserrat,
Kleb, Claudine,
« Établir un plan rationnel de désabonnement de périodiques »,
BBF, 2000, n° 5, p. 108-117 [en ligne] http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2000-05-0108-002 Consulté le 16 janvier 2014
Baudin, Dominique,
« Une politique documentaire sans budget ? »,
BBF, 2013, n° 1, p. 24-24
[en ligne] http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2013-01-0024-004 Consulté le 16 janvier 2014
mercredi 15 janvier 2014
Les MOOC : une révolution ?
L'année 2012 a vu apparaître aux Etats-Unis une nouvelle tendance dite révolutionnaire. En effet, de prestigieuses universités, Harvard, Standford et MIT ont mis en ligne gratuitement une quantité de cours dans de nombreuses disciplines, autant en biologie moléculaire qu'en audiovisuel. Ce phénomène s'appelle MOOC ou Massive Online Open Courses, que l'on pourrait traduire par "enseignement de masse ouvert en ligne". Si l'idée n'est pas nouvelle, c'est son ampleur qui est impressionnante, de par la quantité de cours, d'élèves et d'universités associées.
Des plates-formes spécifiques sont associées à ce système, pour permettre la mise en ligne des cours, et l'accès des étudiants, comme le site Coursera (https://www.coursera.org/). On peut voir sur l'en-tête du site le nombre d'étudiants, en temps réel, qui sont inscrits sur le site.
Aujourd'hui, à 18h35 :
Join 6,087,852 Courserians.
Learn from 568 courses, from our 108 partners.
Les étudiants sur cette plate-forme sont appelés "courserians". A noter que le site délivre aussi des diplômes "Coursera", payants cette fois.
Les créateurs du site, Andrew Ng et Daphné Koller, spécialistes en intelligence artificielle à Stanford, ont pour objectif de "réformer l'éducation au moyen de la technologie". But que partage l'ensemble des MOOC, démocratiser des cours de très haut niveau, qu'ils soient accessibles à n'importe qui de n'importe quel endroit du monde. Mais cela pose plusieurs questions, sur le rôle de l'enseignant, des petites universités, sur la manière d'enseigner en tant que telle ou les relations élèves/professeurs et élèves/élèves.
Au delà de ces débats, on peut constater aujourd'hui l'efficacité du concept, en 2014, qui a été si valorisé. Tient-il ses promesses ?
La réponse est plus mitigée. Pour exemple, l’université d’Etat de San Jose (San Jose State University – SJSU) aux Etats-Unis, a démarré un MOOC en février pour le suspendre au printemps. Entre 56% et 76% des étudiants avaient arrêté de suivre les cours, alors qu'ils leurs auraient permis de gagner des crédits. Et ce résultat n'est pas minoritaire.
Cela pose une nouvelle question, les MOOC sont censés être accessibles à tous, un outil démocratique, mais cela sous-entend une certaine motivation des individus pour suivre un cours intégralement, alors qu'ils ne bénéficient pas de l'appui du professeur, des autres élèves, ou même de contact humain. En outre, seuls des cours sont dispensés, pas la méthodologie, au sens de savoir apprendre par soi-même. Si l'étudiant n'a pas cette notion d'auto-formation, s'il n'en voit pas l'intérêt, il pourra difficilement suivre ce type d'enseignement.
La question de l'universalité de ce savoir est alors remise en cause. Seul les individus ayant une formation préalable pourront apprécier les avantages des MOOC, et utiliser cet outil, réellement.
Pour autant, il ne faut pas considérer le MOOC comme un échec. L'idée est intéressante et demande à être retravailler, à mieux cibler son public.
On voit d'ailleurs se développer des MOOC qui reposent sur un apprentissage collaboratif, où les étudiants mettent en ligne des cours à l'attention des étudiants, commentent, discutent, corrigent. Il s'agit en général de domaines très pointus, tels que des langages de programmations informatiques.
Sources :
-Dalb, "Le phénomène des MOOCs s’intensifie",[en ligne] Métier et compétences en Info-doc, 9 octobre 2013, [consulté le 15/01/2014]
http://referentieleninfodoc.wordpress.com/2013/10/09/mooc/
-Bertrand Duperrin, "Les MOOCs : finalement ni « massif » ni si « open » ?", [en ligne]
Bloc-Notes de Bertrand Duperrin, 3 octobre 2013, [consulté le 15/01/2014]
http://www.duperrin.com/2013/10/03/les-moocs-finalement-ni-massif-ni-si-open/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+bertrandduperrin+%28Bloc+Note+de+Bertrand+DUPERRIN%29
-Sylvie Kauffmann, "Les MOOCs à l'assaut du mammouth", [en ligne], Le Monde/Idées, 25 mars 2013, [consulté le 15/01/2014]
-Matthieu Cisel, "Chronique des MOOC",[en ligne], STIcef.org, mis en ligne le 16/01/2013, [consulté le 15/01/2014]
http://sticef.univ-lemans.fr/num/vol2012/13r-cisel/sticef_2012_cisel_13r.htm
Avec Nest, Google s'invite à la maison
Le 13 janvier, le géant Google annonçait avoir conclu un accord pour acheter Nest Labs, Inc. pour quelques 3,2 milliards de dollars.
Google poursuit ainsi sa campagne d'investissements, mais il semble cette fois-ci s'éloigner du secteur de la publicité pour entrer dans celui de la domotique et des objets connectés.
En effet, lancé en 2010 par Tony Fadell, le père de plusieurs génération d'Ipod, et Matt Rogers, Nest Labs est considéré comme un acteur important sur le terrain de la maison connectée ou "maison intelligente".
Ses produits phares, un thermostat et Protect son petit frère détecteur de fumée et de monoxyde de carbone ont ceci en commun qu'ils sont connectés et donc ainsi contrôlables à distance.
Après les lunettes "Google Glass" et la voiture sans chauffeur, Google n'en finit pas de nous surprendre par ses escapades en dehors de son cœur de métier.
Si son DG Larry Page annonce clairement son souhait d'apporter les produits de Nest Labs dans "davantage de maisons, davantage de pays" avec "des dispositifs simples, réfléchis qui rendent la vie plus facile à la maison, et qui ont un impact positif sur le monde", il justifie dans un post du 18 septembre dernier la diversification de Google :
"Ne soyez pas surpris si nous investissons dans des projets qui semblent étranges ou spéculatifs par rapport à nos activités existantes. Et rappelez-vous que de nouveaux investissements comme celui-ci sont infimes par rapport à notre cœur de métier."
C'est Affordance par la plume d'Olivier Ertzscheid qui nous apporte des éléments de réflexion et de réponse quant à la stratégie de Google: Google veut "changer notre manière de voir le monde. Littéralement. Il a fait de notre corps une interface comme une autre"
Cette interface, Olivier Ertzscheid la voit s'inscrire dans une triangulation nous associant avec notre smartphone et de nouveaux périphériques que sont déjà ou deviendront dans un futur proche nos équipements ménagers.
En pénétrant dans nos sphères privées, Google en sait plus sur nos comportements, nos usages et en définitive ... nos besoins.
Google s'invite à la maison ...
ERTZSCHEID, Olivier. Domicile terminal. [en ligne]. Affordance.info, mis en ligne le 14 janvier 2014. [consulté le 15 janvier 2014].<http://affordance.typepad.com//mon_weblog/2014/01/domicile-terminal.html>. ISSN 2260-1856
Gooogle Investor Relations. Google to Acquire Nest. [en ligne]. Mountain View CA: Google inc., mis en ligne le 13 janvier 2014. [consulté le 15 janvier 2014].<http://investor.google.com/releases/2014/0113.html>
PAGE Larry. [en ligne]. In Google+, mis en ligne le 18 septembre. [consulté le 15 janvier 2014].<https://plus.google.com/+LarryPage/posts/Lh8SKC6sED1>
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