Un nouveau service de stockage et de partage en ligne fait son apparition, Google se lance dans l'aventure. 6 années de gestation auront été nécessaires pour la Silicon Valley Google.
Ses principaux concurrents, Dropbox et Skydrive Microsoft n'ont qu'à bien se tenir. Mais est-ce une réalité ou plus un effet d'annonce ?
Direction Google Drive pour en savoir et en juger par nous même :
Google Drive c'est :
Google Drive c'est :
1 compte gmail, 5 Go gratuit, 25Go pour 2,49 $/mois, à 100 Go pour 4,99 $/mois et à 1 To pour 49,99 $/mois. Accéder à vos documents où que vous soyez et possibilité de les rechercher facilement par mots-clés. Google Drive est compatible avec trente types de documents depuis votre navigateur, sans même disposer du logiciel adéquat. Et, parmi les formats compatibles, Google cite deux logiciels d'Adobe : Photoshop et Illustrator. Alléchant, non ?
Google Drive a pour lui son prix, jusqu'à 4 fois moins cher que ses concurrents.
Google Drive a pour lui son prix, jusqu'à 4 fois moins cher que ses concurrents.
Mais mais mais !!!
Google Drive ne rivalise pas avec la simplicité de Dropbox et sa compatibilité à de nombreuses plateformes mobiles (iOS, Android, Blackberry) ou avec la dernière fonctionnalité de SkyDrive qui permet de se connecter à son PC à distance.
Autre aspect de discussion sur les stockages en ligne, les cloud : la confidentialité des données.
Le site américain CNET s’est penché sur les conditions d’utilisation des principaux services de stockage en ligne: Dropbox, Sky Drive et le tout nouveau Google Drive.
Si dans tous les cas nous pouvons être d'accord sur cette condition d’utilisation typique de Google annoncé clairement :
«Certains de nos Services vous permettent de soumettre des contenus. Vous conservez tous vos droits de propriété intellectuelle sur ces contenus. Ce qui est à vous reste à vous.»
La suite laisse la porte grande ouverte à débat : «En soumettant des contenus à nos Services, par importation ou par tout autre moyen, vous accordez à Google (et à toute personne travaillant avec Google) une licence, dans le monde entier, d’utilisation, d’hébergement, de stockage, de reproduction, de modification, de création d’œuvres dérivées (des traductions, des adaptations ou d’autres modifications destinées à améliorer le fonctionnement de vos contenus par le biais de nos Services), de communication, de publication, de représentation publique, d’affichage ou de distribution public desdits contenus.»
En clair, Google n’exclut pas d’exploiter à sa guise les données qu’on le charge de stocker. N'allons pas jusqu'à évoquer une recherche et exploitation de nos photos personnelles, Google se blinde juridiquement en usant de formules floues et contradictoires.
Google Drive ne rivalise pas avec la simplicité de Dropbox et sa compatibilité à de nombreuses plateformes mobiles (iOS, Android, Blackberry) ou avec la dernière fonctionnalité de SkyDrive qui permet de se connecter à son PC à distance.
Autre aspect de discussion sur les stockages en ligne, les cloud : la confidentialité des données.
Le site américain CNET s’est penché sur les conditions d’utilisation des principaux services de stockage en ligne: Dropbox, Sky Drive et le tout nouveau Google Drive.
Si dans tous les cas nous pouvons être d'accord sur cette condition d’utilisation typique de Google annoncé clairement :
«Certains de nos Services vous permettent de soumettre des contenus. Vous conservez tous vos droits de propriété intellectuelle sur ces contenus. Ce qui est à vous reste à vous.»
La suite laisse la porte grande ouverte à débat : «En soumettant des contenus à nos Services, par importation ou par tout autre moyen, vous accordez à Google (et à toute personne travaillant avec Google) une licence, dans le monde entier, d’utilisation, d’hébergement, de stockage, de reproduction, de modification, de création d’œuvres dérivées (des traductions, des adaptations ou d’autres modifications destinées à améliorer le fonctionnement de vos contenus par le biais de nos Services), de communication, de publication, de représentation publique, d’affichage ou de distribution public desdits contenus.»
En clair, Google n’exclut pas d’exploiter à sa guise les données qu’on le charge de stocker. N'allons pas jusqu'à évoquer une recherche et exploitation de nos photos personnelles, Google se blinde juridiquement en usant de formules floues et contradictoires.
En tout cas, faites votre choix de service, découvrez cet énième service de la maison Google et surtout restez vigilant !
Sources :
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